06-04-2020
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Nous sommes dans l’impossibilité de sortir The Bluegrass Times version papier. Etant confinés, nous avons beaucoup de mal à nous voir... Mais nous avons décidé, avec l’aide de Jean Lacote, de sortir un journal confiné, sans version papier, d’une dizaine de pages.
Il y a les news; l’évocation d’Eric Weissberg, qui vient de nous quitter, celle de Stacy Phillips, décédé le 5 juin 2018, les chroniques des 4 disques français qui ont obtenu le label Cri du cœur par D. Fosse et qui ont été publiés dans le Cri du Coyote, avec l’accord de Jacques Brémond (qu’il en soit chaleureusement remercié).
Il y a aussi le journal d'un passionné d'Old Time de Claude Vue qui évoque la vie de quelques musiciens old-time, une évocation par Stéphanie Colin du livre d’Emma John, Wayfaring Stranger : A Musical Journey in the American South (publiée dans le N° 163 du Cri du coyote), et le récit du Kiwigrass par Jean-Luc Leroux.
Bonne lecture et espérons que le prochain numéro soit davantage habituel.
Dominique et François
Dans une formation bluegrass, on trouvera le plus souvent une contrebasse acoustique à quatre cordes, exactement la même que l’instrument multiséculaire utilisé dans la musique classique. Mais c’est aussi le seul instrument bluegrass qui a le droit d’être électrique ! Il peut s’agir d’une contrebasse électrique, plus pratique à transporter, ou aussi une guitare basse électrique à quatre ou cinq cordes. On aperçoit même parfois un ukulélé basse !